dimanche 22 juillet 2007

pulévrisation du marais mais bonne nouvelle au final...

ENFIN!!!!!!!


Après sueurs froides et inspecteur monstrueux, aigri et anti-mouluré par excellence, cette fois c'est la bonne!

Angoulème by night...


Après moult réussites, les victorieux marais s'offrent une petite virée à Angoulème, accompagnés/sponsorisés par une mamie lily plus diplômée que jamais.
Suite à une fraude de haute volée, la mamie en question dispose en effet d'une somme conséquente pour offrir à ses monarques un restaurant gatronomique sur les hauteurs de la ville, histoire de découvrir un peu plus notre patrimoine et d'en discuter autour d'une assiette très "nouvelle cuisine" (surtout pour un marais dont l'audace le conduit à des choix plutôt ascétiques).
Une coupe de champagne (généreusement offerte par la famille d'une femmais enjouée) plus tard, travail des mollets, donc, pour arpenter avec volupté les ruelles au parfum de BD direction gargotte de luxe pour festoyer comme il se doit.
Mamie téléphone, femmais parle de combler certains trous, papa reste septique , belle maman nous cultive...Bref, tout ce petit monde s'agite et se débat avec autant d'entrain qu'il en faudra pour le dernière ballade nocturne, pivotant autour d'Hergé.
Mais ce n'est pas fini pour les marais puisqu'il leur faut alors regagner leur hébergement campagnard, situé à environ 40 km de la préfecture...Il sera alors temps pour femmais de conter diverses anecdotes quant aux habitants de son patelin, certaines dépassant les limites du supportable! S'en suit une présentation des lieux de repos suffisamment précise pour se rendre compte de notre "exception culturelle"...
Le lendemain, retour sur Bordeaux pour le marais et sa mamie où il sera encore question sur le trajet d'une réception mondaine le soir même. La ronde infernale des marais continue, qu'il pleuve ou qu'il vente!

lundi 9 juillet 2007

2 days in Paris


Avant de pénétrer de nouveau le monde du travail, la pause Parisienne s'avère de rigueur afin de puiser dans l'agitation urbaine la force nécessaire à telle obligation...
Fraichement débarqués, le marais et son compère Bordelais rejoignent Aline, ex-ersamus anglaise et future habitante de hong kong, pour un jeu de piste organisé par différents arrondissements (6eme, 18eme, 13eme etc...) qui consiste à chercher le mystérieux "trésor de Paris" selon un parcours bien établi et des indices disséminés aux quatres coins du quartier. Notre choix se porte sur Montmartre et débute alors une après-midi d'escalade, de visite de cimetières, de découvertes locales (charcuteries, statues de stars, vignes citadines) et de musculation intensive. C'est fièrement mais avec un retard d'environ deux heures que nous arriverons place du Tertre, sans être parvenus à résoudre l'intrigue qui, avouons le, nous était un peu sortie de la tête...





On s'oriente alors vers l'île de la cité pour se consoler devant une petite collation. Il est déjà l'heure de regagner ses pénates...


Le lendemain, après un copieux petit déjeuner, direction le musée du Quai Branly, carrefour des cultures "non-occidentales" situé au pied de la tour Eiffel. Au sein de ce bâtiment, tout de cubes et de bois, se déploient les arts des civilisations d'Afrique, d'Océanie, d'Asie et d'Amérique. Les collections permanentes suffisent à séduire, aussi bien par l'intérêt qu'elles suscitent que par leur grande diversité. Seul bémol: une file d'attente d'une longueur conséquente, contrepartie évidente de toute découverte Parisienne.



Sorti de ces imprégnations exotiques, balade rêveuse sur les quais et pause café Boulevard Saint Germain ( en bas du boulevard, histoires de rencontrer des prix plus abordables...).
La marche s'oriente alors vers l'île Saint Louis, sur laquelle les nuages commencent déjà à s'avancer, pour gagner peu à peu un Marais surpeuplé, aussi bien dans ses rues que dans le musée Carnavalet où il convient de se réfugier. Très bonne initiative: ses deux hotels particuliers regorgent de surprises et de splendeurs visuelles. On y croise aussi bien un Napoléon souverain qu'une Marie-Antoinette décapitée ou une Madame de Sévigné accueillante.




Le temps se délite ensuite peu à peu et on en vient à oublier l'heure du train, se laissant promener par des bus affrontant la pluie avec témérité. Témérité partagée par de jeunes mariés se prêtant à une scéance photo sur le pont Alexandre III où s'abat une pluie torrentielle.
Elysée sous surveilllance, Place Vendôme grisonnante , Opéra Garnier triomphant, Galeries lafayettes où l'on tente de rentrer oubliant qu'on est Dimanche, Gare montparnasse un sandwich à la main, trajet sans place assise, Tramway Bordelais tristounet et paupières lourdes....
FIN


mardi 3 juillet 2007

une nouvelle colocataire...


Voici venu le temps des présentations: Monique, 22 ans, célibataire, tout droit arrivée de Toulouse et fraichement larguée par Romain, nouvelle compagne locative du marais et icône post-moderne de ses sujets, objet d'un culte lyrique des plus surprenant et d'une admiration sans pareil.
God save Monique.