jeudi 22 février 2007

"mierda sobre pelo de co**" et autres plaisirs sémantiques de nos amis espagnols





































































































Après les résultats semestriels, quoi de mieux qu'une petite virée dans le pays Basque en guise de cure monacale....me voilà donc dans le train avec l'icône libanaise du moment (j'ai nommé lisa, la morue haussmannienne) direction Arbonne, lieu de résidence secondaire du marais, petit village de charme aux couleurs très locales et aux contours d'une vaporeuse élégance (même si karl n'est plus là, Afflelou fera bien l'affaire, le glamour en moins, la netteté optique en plus).
Arrivée remarquée pour nos petites personnes (après qu'un passager mal intentionné nous ait fait don de ses flatulences en pleine figure) et montée souveraine dans la voiture de la meilleure hôte du moment dont nous tairons le nom sous peine de rejet Freudien irréversible. Armée d'une boîte de macarons grand luxe, notre libanaise s'immisce sans mot dire dans le quotidien familial du marais, au point de lui voler la vedette en matière de conversation! Un comble qui trouvera son revers grâce à la légendaire finesse du marais, se chargeant de remettre pareille soubrette à sa place (Pigalle).Mais encore une fois ce blog ne se fait pas le chantre de la discorde ( il y a cependant des limites, et on ne lance pas une fatwa comme ça!).

Le lendemain, petit levé à la Marie Antoinette pour nos deux héros voyageurs et en route pour saint jean de luz, histoire de faire découvrir à notre lisa les joies des environs, leur passé historique, ce qui provoque moult réflexions quant à la signification de certaines expressions consacrées (infante quand tu nous tiens...). Le teint de mon acolyte se fait alors mordoré, preuve évidente de son accoutumance au climat local. Pose shago le long du port, regards langoureux, les Bordelais envahissent la région de leur grâce sculpturale, à tel point qu'on en oublierait presque l'arrivée du compagnon émérite du liban.com, Monseigneur Romain, à la gare de Biarritz.Mais encore une fois, on met les petits plats dans les grands et l'accueil du mister sera triomphal sinon rien! Le trio ainsi formé, les choses sérieuses peuvent commencer (pas de sous-entendus, merci)
Acte 1: Biarritz et ses chimères ensorcelantes, ses vagues déchainées et sa vierge peu farouche.
Le marais se charge de guider ses compagnons avec toute sa science et propose une viste complète et mouvementée de la ville: on avait pas vu accès au rocher de la vierge aussi homérique depuis longtemps! les vagues ont bien failli nous emporter mais c'est tête haute et vêtements (presque) secs que nous repartirons! le temps se gâte soudain et il est alors temps de rentrer dans un café pour écrire quelques cartes et se protéger des embruns qui se transforment peu à peu en pluie torrentielle.

Maison, repas, dodo (après une lecture shakespearienne de "glamour" par vous savez qui).

Acte 2: San Sebastian et ses chaleureux autochtones: loulou and his boyfriend Benjamin, "the good german". Sorti du traditionnel "topo", le trio s'ajoute au couple pour ne fomer plus qu'une communauté animée par un intérêt certain (nous sommes en pleine métaphore européenne) : maaaaanger! dégustation de tapas de haute volée qui vaudra au liban.com et au marais un vol de parapluies sournois et inacceptable: soyez maudits odieux voyous du peuple, on va pas rappeler Franco mais quand même!
On se réconforte cependant fort vite avec une longue marche le long du littoral, jusqu'à l'atteinte paroxytique de célestes sommets au panorama sublime et aux habitants surprenants: pas les tueurs sanguinaires de "la colline a des yeux"' mais de ravissants petits chats sauvages, dont deux en pleine querelle amoureuse! Que dame Nature se fait radieuse parfois....et que dame langage se fait espiègle lors d'une séance verbale de grand standing où loulou initie le marais aux coutumes de la conversation ibérique et triviale...
On contemple la vue, on prend des risques jusqu'au vertige de certain(e)s et on redescend prendre une petite douceur dans un bar à la décoration surprenante: des hiéroglyphes pour le moins...pornographiques! il en faut pourtant beaucoup pour dérouter le marais.

Acte 3: les adieux. La théâtralité du marais faisant cette fois défaut pour cause de maladie naissante, pas d'effusion ni d'embrassade lors du départ de ses compagnons, mais une certitude: tenir la chandelle n'est pas si désagréable que cela, il faut juste savoir la tenir par le bon bout phallique...

S'en suivra une demie semaine de repos bien mérité pour le marais, occasion pour lui de se sevrer de diverses technologies et de découvrir un ovnie cinématographique qu'il prend le risque de vous recommander: "bug".

lundi 12 février 2007

British memories







































Séparé une fois de plus de sa femmais (qui pendant ce temps en profite pour lui piquer ses amies, nous règlerons nos comptes plus tard), le fringuant marais décida de profiter de son temps libre en partant redécouvrir les contrées anglaises.

Cette fois, plus d'aéroport aux relents d'Europe de l'Est mais un plus rassurant départ de Nantes par une journée ensoleillée qui semble augurer du meilleur. Une fois arrivé après quelques crispations coutumières du marais sur son siège, direction Nottingham again pour un séjour au sein d'un quartier devenu célèbre pour ses cambriolages et les actes de délinquances et de barbarie auxquels se livrent ses habitants...(et oui on les retrouve partout).

Programme chargé préparé par un hôte grippé mais toujours facétieux( shago villemin): après tronçonnage cinématographique, découverte d'une tradition éminemment Erasmusienne: le sing star (ou comment permettre au malheureux marais de se ridiculiser de manière liminaire).
Explication: le sing star n'est autre qu'un karaoké sur play station où les participants se doivent de soigner leurs vocalises sous peine de sanction de score sévère (et dévastatrice pour la réputation du marais). A savourer!même kim wilde figure sur la prestigieuse play list...
Le soir même, passage obligé au pitcher, endroit désormais culte où les marais avaient déjà pu marquer leur territoire et ce de diverses manières...territoires plus vastes retrouvés le lendemain lors de ballades-photos ou shopping (durant lesquelles certaines acquisitions font débat et d'autres disparaissent, no comment...), sans oublier une pose VOGUE devant le plus petit cinéma de la ville, du pays, du monde? sans importance, tout est "plus que" ici!
Grosse journée mardi puisque c'est en compagnie de mon hôte et de sa délurée (et ô combien mystérieuse et innocente) amie Agnès, que je pars visiter Birmingham, ville de réputation sulfureuse de par son quartier chinois très hot et bigarré et ses boutiques tendancieuses... (ou tendance?à vous de voir). Visite du "plus grand centre commercial d'europe" (à moins que ce ne soit plus modestement d'angleterre, tout est bon à prendre pour les esprits chauvins), déjeuner épique à pizza hut, promenade au coeur des beaux quartiers (belles façades rappelant notre chère avenue Montaigne...de loin mais Vuitton est là), pose lascive sur un banc de pierre pour savourer une vue faite de contrastes....et le plus important, ce sans quoi un voyage Britannique n'aurait pas la même saveur: le traditionnel braquage du starbuck cooffee! Moyen typique de se procurer quelques sueurs avant un calme marathon pour regagner notre car et son chauffeur ô combien aimable du fait de notre justesse horaire...
Mercredi plus calme mais non moins enrichissant pour le marais qui découvre la méthode universitaire locale: une heure de Droit dans un amphi molletonné qui aurait réjoui les petites fesses de ma méchante femmais. S'en suit une après-midi de flânerie romanesque et un petit verre dans le mythique pub "jerusalem", plus vieux réceptacle des libations urbaines et occasion de plus de rencontrer les habitués de la nuit.

C'est enfin sous la neige que le marais regagne l'aéroport, des flocons dans sa chevelure soyeuse et du verglas sous des Converses peu adaptées (nous n'en dirons guère plus).
Nottingham déroule alors son hivernal tapis d'adieu et la campagne environnante sonne le glas d'un voyage molletonné en diable, so miisha évidemment.

jeudi 1 février 2007

Péchés du passé purifiés à l'eau de poisson....













La volupté de Rome nous aura atteint , l'odeur du poisson sorti de nulle part nous laisse indéniablement penser que les miracles peuvent exister...

C'est aprés une nuit de sommeil dans une piéce surchauffée, moulurée et qui plus est aromatisée à l'odeur subtile de poisson que notre périple romain à pris un ton divin, laissant présager le meilleur comme le pire... tous les péchés nous été autorisés à partir du moment ou nous savions que ce n'est point l'eau bénite de san Pietro et encore moins son pied lissée qui nous onctionnerait, mais que la source miracle jaillirée juste sous nos nez avnt le tourbillon de la nuit...!
A 4 l'aventure peut desormais débuter sous la protection divine dont nous connaissons à présent les origines.. Jésus et ses apotres , Marie l'immaculée,Noé et son zoo n'avaient qu'a recevoir la bénédiction poissonniéres... et c'est fort de cette chance inoüe que nous partîmes à la découverte de Rome ou tout nous été permis. Fraichement débarqué de leur Nottigham Shire le chaleur du sud envahit progressivement nos corps, conjugué avec l'allure parfoit militaire que prenait notre périple.. nous avons tout de même pu faire fis , nous braves soldats, pizzas à la main, de cette gestion rigide en nous comportant tels des marginaux rejettant toute autorité donnée...!

Qu'importe l'ora martiale, rythmée alternativement par l'hymne Italien chantonné par un ténor doté d'une voix digne des plus grands opéras.. ou des annonces d'aéroports, mais non moins avec une sublime allure et conviction dans cette entreprise, main portée sur le coeur le rendant radieu à mes yeux.. ou par une cadence francophone adulant" l'amérique"donnant un air de dolce vita à nos expresso.

Des pizzas jonchées de coeur d'arichaux en passant par des pasta sans pesto nos repas n'en furent pas moins délicieux , moment opportunt pour découvrir la douceur de la vie à l'italienne..et admirer le style "so sexyyy" de nos voisins ou parfois "so mamaaaaa"!

Promenades entrecoupées de pause Galeteria pour les uns, expresso pour remotiver les pieds ou le temps d'écrire une carte avec inspiration réelle, ou cappucino pour faire honneur aux traditions locales... les petits internationaux que nous sommes ont totallement assumés de boire ce breuvage en plein aprés midi malgré la réputation que l'on accorde à cette pratique douteuse......! souriez et immortaliser le moment! jamais un cappucino ne nous aura fait tant d'effet!

Promenades nous emportant sur les plus belles places de la capitale, repits et moments sacrés sur les bans des églises, escaliers montés et ruines admirées tel a été notre pain quotidien, parsemé de discussions sur l'imiction européenne et la loi internationale applicable, votre sort est seccélé au mien, vous etes mon subalterne trés cher!

Complicité amicale oblige quant à toi Greg que nous franchisions enfin le pas et que dans le délit nous soyons liés..objet du litige et recette triomphant à la main, cela nous fait perdre notre dialecte de juriste : B U T I N était le mot qui aurait pu nous sauver lors de notre plaidoierie. Coauteur jusqu'à la fin nous serons, et pour finir ta tête placardée sur les murs de la ville tu décrocherra et affichera vaillement avant de te retrouver piégé par PA fier de remporter la mise en te conduisant au centre de la "directzion antimafia" .. mais tête haute tu garderas, rejoingnant ainsi comme il se doit le clan des Provenzano.. derriére les barreaux!

Miss cha, heureuse d'avoir pu partager ces quelques heures à la romaine à la découverte de curiosités toutes plus folles les unes que les autres , nous horrifiant devant ces symboles morbides , étant soeur de vessie , (j'attends toujours la visite des toillettes de l'ambassade de France PA!), je suis tout de même fiere de pouvoir dire qu'entre filles nous aurions pu fémininement nous débrouillées, mais qu'on s'en est pas mal tiré arrivant à chacune trouver un gentleman au moment propice pour nous abriter sous leur parapluie! sorry Greg! Trouvant en premier la Marie reléguée dans une sombre ruelle romaine ton corp est devnu impénétrable à quiconque ne montre pas la "sexy back" attitude!

Les mystéres de la rive gauche du Tibre, étrange reflet de notre Paris , n'ont plus aucun secret pour nous. Fuyant les touristes mal léchés c'est en compagnie de notre guide d'un jour mais non moins sympathique et enrichissant Maxime, que nous avons pu fleurter avec les dédales typiques italiens et découvrir un autre visage de la capitale pittoresque. Guide que nous devons donc saluer humblement. Retrouvailles entre amis bordelais , souvenir ou connaissances de visages, il faut dire que tu nous a émerveillé et donner encore plus en estime cette ville. Gracie!

Et c'est attablé, au son des "champs élysées" que nous avons pu constater, avec ma complice féminine, l'aversion subtile mais bien réelle pour le culte des culs des ritals ces coquins!

Cet interlude nous laissant un bref répis entre l'hiver et le primtemps pour se retrouver pour une nouvelle année qui sera certainement encore plus riche en émotions, en surprise et en péchés que l'a été la précendente et qui sait dans un an ou les chemins des vacances nous méneront pour nous laver de nos péchés passés??? A u Pérou pour recevoir l'extrême onction venant tout droit du crachat des lamas???