mercredi 16 juillet 2008

http://fr.youtube.com/watch?v=eHuebHTD-lY&feature=relatedhttp://fr.youtube.com/watch?v=eHuebHTD-lY&feature=related

les week end basques!


Ce n'est pas parce que l'ombre hitchcockienne plane sur les hauteurs de l'océan (cf cette cauchemardesque demeure, source de tous les vertiges) que les plaisirs estivaux doivent cesser!
Ca commence par une innocente invitation en villégiature, histoire de puiser dans le littoral Basque et les fanfares locales les forces nécessaires après un dur labeur salarié, et ça se termine en libations diverses, que ce soit au sein des désormais mythiques "fêtes du thon" à st jean (volume 1) que par un passage éclair, mais foudroyant, aux fêtes de bayonne (volume 2).
c'est décidé! cet été le périple "chokoan" sera réitéré jusqu'à plus soif!
L'occasion aussi de découvrir plus en profondeur (volume 2) les trésors que recèle la côte (ciboure et sokoa nous ouvrent leurs portes chaleureusement).


vous remarquerez que seuls les photos diurnes figurent ici, la compagnie ayant décidé de limiter les dégâts niveau perte de matériel. Appareils photos et portables seront désormais exclus de toutes les soirées! (mais il reste les porte-feuilles, que le marais prend plaisir à semer sur le plage, ou encore les clefs du domicile familial que marie retrouve après avoir réveillée toute la maisonnée pour se faire ouvrir le gîte à 5h du matin).
On pourra juste évoquer pour le fun une mémorable "pitchoulie", des institutrices auxquelles on ne confirait pas nos chérubins, un gâteau basque croquant, et surtout un bain de minuit option ticket de métro, qui à lui seul aurait valu le risque d'ensevelir 15000 appareils photos...

comme le montre la photo, c'est avec sérieux que marie se fera le chantre des bonnes manières pour faire fusionner la paillardise landaise (option la pitchoulie) et la fierté basque (option rugby).

une petite pause culturelle (caution maternelle oblige) et c'est reparti,
ni les relents de la veille ni les coups de soleil n'auront raison de notre romanesque team.


Pour finir, une touche de grâce sous les dorures de dame nature.