dimanche 10 juin 2007

Week end Ribéracois et apprentissage d'un mode de vie



Après les résultats glorieux d'une châtelaine masterisée, embarcation mouvementée vers Ribérac, lieu de résidence secondaire de la star et havre de paix d'un week end caniculaire.
L'occasion aussi de célébrer les retrouvailles des marais, et de faire fi de tous les maux incombant à celle ci (saccage de son appartement par des rongeurs affamés, frigo insalubre non remplacé et autres petits tracas...).
C'est sous un ciel vespéral que nous prenons possession des lieux, et tentons de nous immerger dans la douceur de vivre campagnarde...Mais l'appel citadin n'est pas loin et il est déjà temps de rejoindre la civilisation la plus proche afin de parader dans un bourg "animé" du fait de la fête du collège local...On prend aussi le temps de blasphémer devant une église aux allures de sacré coeur miniature avant de regagner nos pénates pour constater avec horreur que le caleçon de nuit de femmais a été dévoré par ses intrus rongeurs et ce à un endroit que la décence n'autorise guère de citer...(hurlements-douche-concessions DIM du marais).



Le lendemain, les promesses matinales des marais ne seront pas tenues, il se lèveront comme les autres à midi, sans être allé chercher les croissants ou faire leur footing, autant pour eux.





Heureusement que la piscine familiale est là pour accueillir les valeureux vacanciers et les mettre en condition pour la visite tant attendue d'une église troglodyte à Aubterre, curisoté religieuse taillée sous la roche et regorgeant de passages souterrains ou de tombeaux à la puissance d'évocation surprenante.
Après le rite, la connivence communautaire puisque femmais fraternise avec la tenancière
d'une épicerie touristique qui lui vante le mérite des produits culinaire provenant de la "rue de la soif", lieu de libation familiale et agricole de la dite femmais...Le monde est petit dirons certains.




Une séance de natation plus tard, c'est au tour du pauvre marais de se voir ériger en martyre de la nudité aquatique: profitant d'un "cap pas cap" des plus roublard, ses trois acolytes n'hésitent pas à lui confisquer son maillot, nonobstant les visites récurrentes des parents de la châtelaine autour de la piscine (éclairée qui plus est). Un petit jeu durant lequel le marais sut, avec la grâce qui le caractérise, faire abstraction de la cruauté du monde pour trouver les positions les plus décentes et conserver l'aura mystérieuse qui plane autour de son corps...Il s'en est cependant fallu de peu pour que les propriétaires des lieux ne le découvrent (le mot est bien choisi) dans sa tenue d'Adam...



La revanche a sonné! Acrrochez vous à vos strings!
Retour-élections-bulletins piégés-dodo. Et pensée spéciale aux esprits de l'au-deeeelàààà.

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