jeudi 9 octobre 2008

départ d'une apprentie canadienne et d'une Lyonnaise des crocs

















Lors de cette soirée il fut tentant  de dire  "nous nous sommes tant aimés" durant "nos meilleures années" et "ne me quitte pas"... Mais bien qu'il semblerait qu'une page se tourne sur le brouillon d'un début de jeunesse mouvementée, l'heure est à la fête et pas (encore) aux larmes.
Et oui! Marie nous abandonne (hystérie du marais) pour tenter l'expérience "enrichissante" de la jeunesse au pair au Canada (elle aurait pu choisir l'Angleterre mais non c'était trop près).
Quant à micro femmais (désormais surnommée, pour des raisons d'actualité, "micro subprimes") elle abandonne également son binôme blogueur pour rejoindre son Master 2 à Lyon.
Mais si ces deux crimes sont prétextes à renouer avec la bonne humeur "Franchouillarde" on le leur pardonne bien volontier. 
Pour la cérémonie d'adieux des deux reines (déchues), toute la bande est conviée, à laquelle il faut rajouter le rockeur Nico, "pote" et ses amis (cf article Amsterdam), Laure, amie Bordelaise de la ptite rouquine ainsi que frère Hallard. 
Le pèlerinage est convaincant en matière de libations, beaucoup moins d'un point de vue gustatif mais l'important est dans les zygomatiques  plus que dans l'assiette. Quelle autre gargote aurait été plus légitime alors que c'est en ses murs  que les deux rouquins firent connaissance, et ce de la façon la plus libidinale qui soit ( tout le monde connaît cette histoire).

On se croirait à la recherche du temps perdu mais c'est bien l'avenir qui s'ouvre à ces deux dindes, laissant derrière elles des souvenirs de verre cassé, de table renversée, de "petits levés" et de périples variés. Heureusement que les nouvelles recrues apportent à la soirée une image vierge et une grivoiserie bienvenue, permettant au chant du cygne de se muer en farandole. 
Après le resto, voilà que même l'Irlande se joint à nous pour fusionner avec le mouvement et que les portes de "la suite" s'ouvrent plus ou moins gratuitement (seule l'osmose émanent des rouquins les dispense de paiement, le reste de la troupe devant s'acquitter de son dû...)
Si la sortie de boite  aura déjà quelques relents d'amertume (dont certains prennent forme de manière très concrète) ,  ne parlons pas du coucher, tellement superfétatoire au regard du réveil sonnant 1h plus tard...
Seul le marais n'a pas entendu le carillon et quand il se réveille il est déjà trop tard, il ne reste sur les matelas que le poids du passé et des draps froissés...

Bonjour tristesse et bonne chance  déesses. 

3 commentaires:

le Gucci des marais! a dit…
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le Gucci des marais! a dit…
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le Gucci des marais! a dit…
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