Et oui, au CPAG, on peut tricher, pomper, gueuler et sortir en pleine épreuve boire son café, l'important est de s'activer énergiquement le poignet et de décharger le plus possible (comme nous l'explique une mamie jouant de sa guitare en évoquant une étude comparative sur le cursus des miss france).
Les heures qui suivront pourraient s'intituler "le jour des morts vivants", G.A. Romero n'y verrait que du feu.
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