
Que dire face à la fougue déployée par le marais pour connaitre la teneur de ses futurs cadeaux?
Certains se contenteront d'un modeste mais toujours efficace "bon anniversaire", d'autres vous embrasserons goulument, d'autre hypothèqueront leur maison pour acheter LE cadeau adéquat, et une minorité vous snobera mais qu'importe!
l'évènement est de taille, l'hôte de "qualité terroir", les invités triés sur le volet de la branchitude décontractée (à tous niveaux)...
Cette fois les célébrés ont placé leur sacre sous la tutelle de Renan Luce (côté marais) et de Duffy (côté divine odile/ et non, Vanessa tu dégages). Théoriquement l'ouverture des cadeaux doit se faire de la façon suivante:
1) annonce solennelle avec le fédérateur et indiscutable "take me out"
2) ouverture des présents odiliens au rythme des poussées pectorales de Duffy (conformément à son choix)
3) dépeçage de ceux du marais bercé par "la lettre" (idem)
à suivre...








Colère du marais, larmes de notre divinité, il y aura bien une ouverture tâtonnante des offrandes mais celle si sera beaucoup moins émouvante et grandiose que prévue: il nous faudra pincer, battre et brûler vifs les convives pour que ceux ci fournissent les pleurs et les cris tant espérés!



Ca ira pour cette fois, d'autant plus l'ouverture tant décriée laisse place à une grande satisfaction consumériste!Place de concert à l'arrachée (renan luce justement), cadre "jules", sac à main de la taille d'une marmite (remarque c'est surement pratique pour les sans-abris, ça fait aussi sac de couchage...), vêtements et bouquins divers...bref les contribuables ont bien rempli leur mission!




...des plus démonstratives...





là c'est reparti tout le monde s'en tape de notre anniversaire...


pas ici, ça c'est le dégât des eaux du plafond...

...ni là, c'est vers un gros paquet de cocaïne que tu lorgnes visiblement femmais...


Après cette remise en ordre , la "fête" peut continuer, notamment au gré des frasques d'un sosie de Philippe Katerine, des déboires romanesques d'une femmais en quête d'affection et des traditionnels corps gisant sur la moquette que l'on ne se lassera jamais de photographier...





C'est bien par le prisme du sourire phosphorescent de mamie lily que survivra l'unique touche de fraicheur juvénile...le reste se doit de rester hors champ

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